« C’est une décision en droit pur », s’est félicité l’avocat de M. Doutre, Me Gabriel Versini. La Cour a retenu que la décision du policier avait été prise « à l’aune des circonstances exceptionnelles de 2010, où des commerces avaient été saccagés et des voitures incendiées », a-t-il relevé.