Le retour difficile des enfants emmenés en Syrie
« A leur retour en France, les personnes radicalisées parties en Syrie ou en Irak sont systématiquement incarcérées mais qu’advient-il des enfants ? Déscolarisés, en proie à des scènes particulièrement violentes et aux bombardements, ils ont vécu un traumatisme. La circulaire de mars 2017 prévoit un bilan de santé complet de l’enfant à son retour ainsi qu?un bilan psychologique. Près de 400 mineurs français vivent actuellement dans la Syrie de l’Etat Islamique. Exemple avec le cas d’Abdelhakim Labriak dont l’ex-épouse est partie en Syrie en août 2014 avec ses enfants alors âgés de 2 et 5 ans et son nouveau compagnon. »